
Afin de mieux comprendre l’impact du changement climatique à l’échelle locale, le Parc naturel régional Normandie-Maine avait initié, en 2022, une expérimentation ayant pour objectif de modéliser, à une échelle fine, les projections du GIEC sur son territoire. Après la mise en place d’une première méthodologie très prometteuse, les trois autres Parcs normands ont rejoint le projet, en 2024, pour aller plus loin dans les analyses et élargir les territoires d’expérimentations (rappel de l’expérimentation ci-dessous).
Pour ce faire, un stage, porté par l’association de l’inter-Parcs normand, avait été programmé en 2024. Réalisé par Louis Parey, alors étudiant en Master 2 Environnement, risque et diagnostics territoriaux à l’Université de Caen, cette initiative avait fait l’objet de la parution d’un rapport de stage technique (accessible en cliquant ici).
Afin de rendre plus accessible les résultats obtenus, le Parc du Perche a souhaité condenser ces résultats sous forme d’un stage en bref consultable et téléchargeable ci-dessous.
Ce travail de modélisation porte sur les températures, les précipitations et le déficit hydrique des sols, en intégrant dans les projections les réalités physiques locales de chaque Parc (exposition des pentes, fonds de vallées, collines, plateaux…). Ce rapport de stage en bref revient sur la méthodologie mais évoque aussi les résultats obtenus pour chaque territoire, avec la production d’un Atlas.
Le stage de Louis Parey a été encadré d’avril à septembre 2024, , sous la direction de Jonathan Allain (tuteur de stage au Parc naturel régional du Perche), d’Olivier Cantat (référent universitaire et expert scientifique), de Romain Louvet, Maud Bakker et Michel Ameline (référents techniques et scientifiques pour le Parc Normandie-Maine), de Laurent Alborino (co-encadrant pour le Parc des Marais du Cotentin et du Bessin), de Hervé Rémi et Marc Costil (co-encadrants pour le Parc des Boucles de la Seine Normande).